Je vais te raconter une histoire...

Cela s’est passé, il a maintenant plusieurs décennies. Mais tu sais ce n’est pas si loin, quelques décennies, ça représente aussi la vie d’un homme.

Petite, je pouvais me baigner, plonger et jouer dans la me. 🌊

Le monde était si différent… La terre était surnommée « La Planète Bleu ».  🌍

L’océan était peuplé par un monde extraordinaire. 🐟🐬🐳🦈
Ce que tu vois aujourd’hui dans les livres existait réellement.

Ce monde au mille et une couleur.
Ces mammifères marins, ces poissons, ces coraux, ces paysages magnifiques ainsi que son immensité ont toujours fasciné l’homme.

Mais est arrivé une époque ou l’homme s’est tout approprié.

En pensant que seul ses envies, d’avait être satisfaites. Pas à un seul moment, la question de l’impact de nos choix ont été fait. On créait, consommait et jetait.

L’homme a eu le choix. Mais seuls les dirigeants de grands pays décidaient pour la planète entière. Ils ne voyaient que par le profit de leur propre pays, voir même, d’eux-mêmes.

Beaucoup de personnes voulaient croire à un changement, l’espoir de guérir notre planète. De la protéger, elle était devenue fragile, l’océan étant sa plus grande blessure.

Car vois-tu, ce que l’homme ne voit pas, pour lui n’exister pas.,

Ce grand bleu est devenu une énorme poubelle.

Les déchets jetés au plus profond de celui-ci. À l’apogée de cette décharge à taille surhumaine, des continents de déchets se sont formés.

Peu à peu, l’océan décida de ne plus le garder pour lui tous ces déchets. Il décida alors de les regrouper et de les mettre à la vue de tous.

Quelques hommes ont réagi, devenant protecteurs de l’océan, de la planète.

J’ai connu cette époque.

Si aujourd’hui nous avons réussi à mettre des fragments d’océan en bouteille, il n’en ai rien de comparable à ce qu’il était.

J’aimerais te dire que je n’y suis pour rien. Que cette nature si bienveillante envers nous, nous ne l’avons pas détruite.

Mais j’ai comme beaucoup d’hommes, consommer et jeté …
Jusqu’au jour où toi, tu as été invité dans ma vie. Je pris conscience de la fragilité, le tiens, la mienne, celle des hommes et de notre environnement.

Beaucoup encore à ce jour n’ont pas eu cette prise de conscience. Je pense souvent que ces hommes ont peur.

Peur de voire la fragilité.

Mais, est ce finalement pas cela qui serait notre plus grande force ?

Partageons cette histoire pour qu’elle ne soit qu’une mauvaise hypothèse. Une erreur de diagnostic.

Pour demain, pour dans des décennies, je veux voir des poissons de les océans.

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